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Abstract
Genomics has emerged as a promising biotechnology for its ability to predict and aid in selection of more productive livestock. More recently, the ability to use genomics to select for increased feed efficiency in dairy cattle has been developed. As feed represents the highest variable cost for Canadian dairy producers the potential benefit from on-farm adoption could be substantial. Furthermore, as
methane emissions are highly correlated with feed intake, adoption has the potential to significantly reduce the environmental footprint of Canadian dairy operations. Despite this, little is known about the
economic implications and if there are potential barriers to adoption. Using a dynamic multi-year enterprise budgeting model we will estimate the benefits from adoption and identify potential barriers. Preliminary results indicate an increase in NPV of roughly $140,000 over twenty-five years from an 8.4% reduction in feed intake due to genomic technology adoption. La génomique est apparue comme une biotechnologie prometteuse pour sa capacité à prédire et à aider
lors de la sélection d'un cheptel plus productif. Plus récemment, la capacité d'utiliser la génomique pour
sélectionner un indice de consommation supérieur pour les bovins laitiers a été développée. Puisque
l'alimentation représente le coût variable le plus élevé pour les producteurs laitiers canadiens, le
bénéfice potentiel de l'adoption dans la ferme peut s'avérer considérable. En outre, puisque les émissions
de méthane sont hautement corrélées avec la quantité d'aliments ingérés, cette adoption a le potentiel
de réduire significativement l'empreinte environnementale des exploitations laitières canadiennes. Malgré
cela, les implications économiques sont peu connues et il existe de potentiels obstacles à son adoption.
En utilisant un modèle pluriannuel dynamique de prévisions budgétaires d'entreprise, nous avons estimé
les avantages de l'adoption et identifié les obstacles potentiels. Les résultats préliminaires indiquent une augmentation de la VAN d'environ 140 000 $ sur vingt-cinq ans provenant d'une diminution de 8,4 % des apports alimentaires due à l'adoption de la technologie génomique.