The most serious insect pests damaging sweet potatoes in the Caribbean region are a complex of weevils, commonly called «Sweet Potato Weevils» which attack the stems and storage roots. Losses due to sweet potato weevils usually range from 50-80 %, depending on the time during which the crop remains in the ground. Several weevil species are reported to damage sweet potato roots and stems ; in the Caribbean two species, +12*Cylas formicarius elegantulus and Euscepes posfasciatus are significant in terms of their damage over wide areas. Recently, the International Potato Center (CIP), in collaboration with national programs of the Caribbean Region have identified research priorities for integrated pest management (IPM) of sweet potato weevils. These include farmer interviews, testing germplasmfor resistance utilizing sex pheromones Z3-1,2 : E2 Butenoate for monitoring and mass trapping ; biological control using entomophilic nematodes and the use of agronomic practices. Dominican Republic has taken a lead in testing these control components. Brief details of these projects and the implementation of projects related to IPM of sweet potato weevils in other countries of Caribbean are discussed. ----- Les ravageurs les plus importants sont des charançons qui s'attaquent aux tiges et aux tubercules stockés. Les pertes causées par ces insectes atteignent 50 à 80 % et sont fonction du temps passé par le légume dans le sol. Plusieurs espèces ont été recensées comme dommageable dont deux dans les Caraïbes : Cylas formicarius eiegantuluset Euscepespostfaciatus.. Récemment, le CIP (International Potato Center) a dégagé des priorités de recherche en lutte intégrée, en collaboration avec les programmes nationaux de la zone Caraïbe. Ces priorités sont les suivantes : tests précoces de résistance ; piégeage de masse et avertissement agricole par l'utilisation de la phéromone sexuelle (Z3-1,2 : E2 Butenoate) ; lutte biologique à l'aide de nématodes entomoparasites ; techniques culturales. La République Domicaine est engagée dans ces différents programmes. Le détail de ces projets ainsi que leurs relations avec les programmes de lutte intégrée contre les charançons de la patate douce dans les autres pays de la Caraïbe sont discutés dans ce travail.