@article{Mangematin:211091,
      recid = {211091},
      author = {Mangematin, V and Mandran, N},
      title = {Les entreprises peu intensives en R&D peuvent-elles  bénéficier des externalités de la recherche publique?  Implications pour les politiques de soutien à l'innovation},
      journal = {Cahiers d'Economie et de Sociologie Rurales (CESR)},
      address = {1999},
      number = {905-2016-70107},
      series = {53},
      year = {1999},
      abstract = {Les politiques publiques de soutien à l'innovation  encouragent le plus souvent l'activité de  recherche-développement, grâce à des outils tels que le  crédit d'impôt recherche ou les grands programmes  technologiques. De tels outils semblent bien adaptés dans  des secteurs où l'innovation est fondée sur la science. En  revanche, dans un secteur comme l'agro-alimentaire, la R&D  est distribuée entre plusieurs acteurs publics et privés.  Le nombre de firmes qui ont une structure formelle et  permanente de R&D est faible. Les PME de l'agro-alimentaire  bénéficient-elles des externalités de la recherche publique  pour innover? L'objectif de cet article est d'évaluer dans  quelle mesure les PME qui ne font pas de recherche  bénéficient des externalités de la R&D publique. Mieux  comprendre les mécanismes de l'innovation dans les secteurs  faiblement intensifs en recherche permet de concevoir des  politiques de soutien à l'innovation adaptées. Il montre  que les externalités en provenance de la recherche publique  existent même si les firmes ont une capacité d'absorption  réduite.},
      url = {http://ageconsearch.umn.edu/record/211091},
      doi = {https://doi.org/10.22004/ag.econ.211091},
}